On ne pouvait pas passer à côté des ocres de la région. Nous sommes donc aller voir le Colorado Provençal à Rustrel, qui est une ancienne exploitation d’ocre de 1871 à 1930. En 1991, le dernier ocrier pris sa retraite.
L’entrée du camping est bien gardée
Une des alimentation en eau de la carrière d’ocres
L’eau est très limpide
Mélange de Ayers Rock en Australie et de Colorado USA et du redneck country à Moab USA
Une belle palette de couleur
Dernier regard sur les ocres. Certains pics, sont comme à Euseigne au Valais, ils ont une pierre sur leur sommet.
Nous voici dans le Luberon, à L’Isle-sur-la-Sorgue, sympathique petite ville qui a plein de canaux car c’était une cité de tissage et maintenant connue pour ses antiquaires et ses célébrités. On pourrait passer des semaines dans la région tellement il y’a des choses à voir.
Vue aérienne de l’Isle-sur-la-Sorgue
Même les escargots font de l’art !
Chien botté !
De jolie boutique qui font envie
Semble-t-il un café très connu
Ville de canaux
Et il y’a encore pas mal de roues à eau, vestiges industriels
Les petits canaux qui jouent avec le soleil
Ici c’est le partage des eaux, la rivière part à droite et à gauche. Pas mal de poissons par le passé, un peu moins maintenant. Une truite par jour et par pêcheur.
Une belle roue où la mousse à pris racine
Au tour des antiquaires, ici une vieille citroen
Et il y’avait plein de belles choses pour les amateurs
Vous l’avez reconnu ? Renaud. (la photo n’est pas de nous). Il était au restaurant pas loin du nôtre. Et c’est vrai qu’il a fortement dégradé.
Sans doute sa voiture… Lui était assis toute la matinée derrière les gens debout.
Après une nuit sous la pluie chez un exploitant de noyer, où nous avons fait le plein de quelques produits du terroir, nous avons pris la Nationale 7 un petit bout pour nous rendre à L’Isle-sur-la-Sorgue.
Après les plantations d’orangers et de mandarines, d’oliviers, voici le temps des noix de Grenoble
Elles sont bien grosses et il y’en a des milliers
Deux belles peintures murales que l’on voit que quand on descend la Nationale 7
Après le contrôle chez Fiat, on va chez Strewo, où nous avions acheté Caroline pour faire le contrôle d’humidité et régler des problèmes Adria cette fois. Au final, tout est ok pour Adria.
Maintenant, il ne reste plus qu’à recevoir les informations de Fiat pour régler notre problème de boîte de vitesse. Par ailleurs on a fait une demande d’indemnisation pour les préjudices subits. Là, par contre, ce n’est pas gagné. Tous le monde se renvoie la balle… C’est donc un avocat qui va gérer cela.
Nous voilà de retour en Suisse pour régler ou du moins essayer de régler, nos problèmes avec Fiat et Adria. Première étape au garage Haechler pour Fiat. Ils ont contrôlé les niveaux et changer un capteur. Nous avons appris par eux que nous n’étions pas seul avec le problème de boîte de vitesse, ouf ! Ils ont un autre client avec le même problème. Toutefois, Fiat n’a pas encore de solution définitive, ils sont toujours entrain de comprendre comment cela peut arriver.
Grand garage et…
Beaucoup de gros camions ! Caroline fait tout petit !
Vu la très bonne météo, nous profitons de ce très beau lac qui a une couleur verte émeraude, pour faire du paddle. Sur celui-ci, point de bateau à moteur, jet-ski, voilier, c’est interdit. Il y’a juste quelques barques de pêche à moteur électrique. Sinon, paddle, canoé, pédalo. C’est vraiment un super endroit. En plus, l’eau est très agréable, pas froide car ce lac n’a qu’une profondeur de 71 mètres au maximum.
Cette vue pourrait presque faire croire que l’on se trouve au bord du Doubs, à Biaufond par exemple.
Le matos, y’a plus qu’à !
Il y’a quelques belles demeures au bord de ce lac.
Nous continuons notre exploration de la région après une pause au milieu de nul part à Les Abrets en Dauphiné. On est resté là dans un camping très calme à première vue, mais envahi d’une section du TCS Camping Club de Berne. On a quand même résisté 6 jours… Maintenant, nous avons bougé à Saint-Alban-de-Montbel, au bord du lac de Aiguebelette, le lac le plus chaud de France selon la pub. Si le temps reste au beau, on pourra enfin faire du stand up paddle. Par contre, pays moderne soit disant, mais dans cette région, pas du point de vue internet.
Aux Abrets, les lapins sauvages n’avaient pas peur des campeurs !
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