Vu le beau temps, on en profite pour faire du paddle sur la rivière l’Oust et le canal. Ici aussi, l’eau diminue. Par endroit, la rivière n’avait que 15 cm d’eau. On passait tout juste. Certaines photos ont ne sont pas très nettes. La cause en est la pochette de protection du téléphone.
Un gîte qui a de l’allure !
Ici, nous sommes sur la rivière.
Le vieux Malestroit en arrière plan.
Obligé d’aller à pied car d’un côté, une écluse sur le canal et de l’autre, un déversoir (à sec) sur la rivière.
Les ‘cailloux’ bretons
Retour sur la rivière l’Oust, en laissant derrière nous Malestroit.
Par moment, nous voyons des bancs de petits poissons chats. Nous verrons également quelques truites
Après un transfert à pied entre la rivière et le canal, nous empruntons celui-ci pour retourner à Malestroit.
Escale à Malestroit, petite ville sur le canal. Pour une fois, nous verrons enfin du trafic fluvial sur ce canal. Néanmoins, vu les manques d’eau, même en Bretagne, une partie du canal est difficilement navigable car les écluses consomment beaucoup d’eau.
Pont à Malestroit
Un éclusier au travail. L’écluse se remplit.
Le même bateau qu’avant. Nous avons été plus vite en vélo !
Difficilement lisible, mais nous sommes bien le long du canal.
Cette écluse n’est pas en service, les bateaux passent sans devoir s’arrêter.
Les écluses font 26 mètres de long par 4.65 mètres de large. Ici, le bateau avait à peine 30 cm de chaque côté !
Il y a également quelques étangs au long du canal.
Peut-être la photo est à l’envers. En tout cas, le miroir est parfait !
Après l’effort, la récompense ! Pêche Melba et Coupe Breizh 🙂
On quitte Le Faou pour tenter de suivre plus ou moins le canal reliant Nantes à Brest. Pour nous, cela sera plutôt Brest à Nantes 🙂 Notre première escale nous arrête à Saint-Goazec.
C’est bien le bon endroit ! Nous suivrons un bout le chemin de halage en vélo.
En principe, une borne est posée tous les kilomètres.
Beaucoup d’écluses le long de ce canal.
Les écluses ne servent pas que pour les bateaux !
Toute petite dessous le chêne mais l’ombre rafraîchie !
Malheureusement, piste cyclable et Bretagne sont deux choses différentes, du moins dans cette partie de la région. Du coup, on part voir la presqu’île de Crozon avec le camping-car. Pas facile de parquer car il y a du monde. On se fera même refouler dans le petit village côtier de Le Fret car on prend trop de place (alors qu’il y en avait). Tant pis pour eux, on ne consommera pas !
Notre bivouac à Le Faou. On voit Caroline au loin.
Alignement de menhirs de Lagatjar à Camaret sur Mer. Il y en a 87. Il semblerait qu’il y en avait encore 700 dans les années 1790.
Impossible à bouger !
Zaza est toute petite à côté du menhir !
Une gauloise ??
De vieux manoirs à l’abandon
Il y a également de belles plages mais compliqué de s’y arrêter.
Quelques ancres de navires français de la deuxième guerre mondiale. On se sent petit à côté.
L’encre du porte-avion Clémenceau et derrière un reste du mur de l’Atlantique supposé empêché les alliés de débarquer.
Une roche percée loin au large.
En face, la ville de Brest
Le cimetière de bateaux de Térénez
Drôle de structure…
L’impressionnant pont tout en courbe de Térénez. Bien pratique car sinon le détour à faire serait immense.
La canicule bretonne étant terminée, on quitte la baie de Douarnenez pour aller à Le Faou. Non pas un asile, mais un charmant petit village côtier proche de Brest. On espérait s’y faire vacciner contre le Covid mais c’était sans compter sur les vacances des titulaires pharmaciens qui sont seuls à être agréés pour pratiquer. Tant pis, on essaiera ailleurs.
Ici aussi, la marée est impressionante.
D’après ce que nous avons lu, ce village a le plus grand nombre de maisons à colombage du Finistère. Ceux-ci, il y a fort longtemps, ont recouvert par des ardoises pour éviter une propagation du feu.
Nous quittons nos amis anglais pour aller du côté de la baie de Douarnenez où nous resterons sans doute quelques jours. En route, nous allons voir deux moulins.
Le moulin de Trémaria. On ne pourra pas le visiter.
L’entrée de la baie de Douarnenez. Tout au fond à gauche se situe la pointe du Raz et à droite le Cap de la Chèvre.
Un vieux gréement au loin
La bruyère est en fleur.
Le moulin de Kériolet. Celui-ci on pourra le visiter.
Une association le fait encore fonctionner.
La chambre du meunier
Tout fonctionne à la perfection
Ce moulin est perdu dans la forêt.
Le moulin de Kériolet
Nous faisons la pause de midi à la pointe de Kastel Kroz. Et que voit-on devant nous ??
des vaches fribourgeoises !!!
Les bretons ont de l’humour ! Quelques panneaux de signalisations ont été décorés.
Arrivé à notre bivouac. Nous apprenons que tous le week-end, il y aura de vieux gréements juste en face de nous.
Voici quelques photos prisent lors d’une promenade sur la côte. On a essayé la mer et cela n’était trop mal mais on n’avait pas l’équipement pour, dommage. Nous avons également vu d’impressionnantes masses granitiques.
Nous nous posons à Penmarc’h. Bel endroit un peu plus au sud de Brest où nous retrouvons nos amis Violet et David que nous avions connu il y a deux ans lors de notre hiver à Javéa en Espagne.
Les retrouvailles !
Le village de Penmarc’h
Plage de Pors Carn
La plage de la Torche. Beaucoup de surfeurs profitent des vagues.
Un dolmen situé sur le sommet de la pointe de la Torche.
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