Dernier jour à Merzouga. Nous en profitons pour voir un autre lac en vélo. Dans l’après-midi, nous allons un peu marcher dans les dunes. Demain, nous allons nous diriger lentement en direction de Tafraout situé du côté ouest du Maroc, enfin cela si le temps y est propice. Par ailleurs, Alain et Florence nous quitterons pour remonter sur Nador.
En route pour le lac
Au loin, les dunes de Merzouga
Nous voici arrivé au lac.
Terminus !
La ligne blanche au fond est une ‘meute’ de flamands roses. Ce lac sera encore présent pendant un voir deux mois.
Inspection de la part de Hijo de l’enclot de Mini Caroline avant notre départ pour les dunes.
Journée tranquille en face des dunes. On pourrait y rester des heures à les regarder tant c’est beau. Néanmoins, nous irons manger à midi dans un hôtel à une bonne demi-heure de marche en suivant le bord du lac éphemère. Lundi, changement de bivouac, directement à Merzouga.
Les bords du lac étant très boueux et collant et le niveau étant plus que très bas, pas de paddle. Dommage ! Neanmoins, nous sommes chanceux d’avoir pu voir ce lac car c’est assez rare.
Les chèvres se régalent !
Fait-elle du yoga ?
Trop beau
Départ pour le restaurant
Les dromadaires pour les promenades touristiques sont encore au repos.
Notre hôtel-restaurant présente bien.
Voici la piste qu’il faut emprunter pour accéder à l’hôtel. Encore sous l’eau pour quelques jours.
Belle réception
Derrière l’hôtel, accès direct aux dunes.
Juste en face de notre bivouac, deuxième construction depuis la gauche.
Dernière étape pour aller à Merzouga. Les paysages sont toujours aussi magnifique et très coloré, ce grâce aux pluies de l’automne passée. Les derniers kilomètres furent quelques peu chaotique car nous avons du emprunter des pistes. La récompense est à la hauteur ! Notre premier bivouac est au pied d’un lac éphémère et qui est au pied des dunes. Exceptionnel, toujours grâce aux pluies. Sans doute le plus bel endroit du Maroc avec Tafraout, pour nous du moins. A vous de juger en voyant les photos ci-dessous.
Nous quittons notre bivouac de Tazarine.
Heureusement, nous retrouvons rapidement une bonne route.
Voilà bien un nom de village rigolo.
Opération recyclage !
Blé et palmiers
On pensait manger pour la pause de midi dans ce restaurant. Fermé ! Alors cela sera pique-nique.
C’est bien un chameau, pas un rocher !
Le gardien du troupeau est lui sur une moto.
On s’approche du désert !
Un oued bien creusé par les pluies passées.
Belle porte d’entrée !
Tout au fond les dunes de Merzouga
C’est parti pour la piste !
On s’est arrêté car on ne savait pas quelle piste emprunter, on ne serait pas bon pour le Dakar !
Sans doute un futur hôtel de luxe !
Nous ne sommes pas perdus ! C’est tout droit !
Encore deux kilomètres de piste !
Le lac éphemère au pied des dunes !
Nous voici arrivé et parqué.
Elle est belle la vue depuis mon balcon ?
Lac miroir !
Le carrelage du restaurant, original.
Au menu du soir, soupe, tajine de poulet petit pois et tajine aubergine fromage et fruits pour terminer.
Le champagne du jour !
Dernier soleil sur nos véhicules
Oui, nous sommes bien au pied des dunes et du lac.
Aujourd’hui, départ pour Tazarine, avant-dernière étape avant Merzouga. Nous bivouaquerons dans une belle auberge-camping, le Camp Serdrar. La route étant quelque peu chaotique, il nous est obligé de rouer sur de la piste et cela secoue pas mal. Nous n’irons donc pas plus loin. On espère que la route sera meilleur pour la suite.
Zagora est très désert ce matin.
Pas de courses maintenant, on est trop tôt.
Gare au chameau sur la route !
C’est tout bon, Alain et Florence sont là.
Nous voilà sur un plateau, à l’altitude de 980 mètres. Fort vent frais.
Tazarine. Nous nous y arrêtons pour faire quelques courses avant d’aller au camping.
Nous n’achèterons pas ce nouveau modèle de chaîne hifi !
Livraison de poulet
Notre bivouac
et le bivouac à Mini Caroline
Hijo s’inquiète du comfort de Mini Caroline !
Voici quelques vues de cette auberge camping perdue au milieu de nulle part avec tout le comfort nécessaire.
Une fois encore, un air de savane africaine mais ici avec des chameaux.
Quelques chameaux étaient juste à côté du camp.
Pendant que les filles visitaient, Alain et moi on réparait des serrures.
Il y a un dicton courant au Maroc : on se recroise toujours quelque part. Et bien c’est avec grand plaisir que nos amis Florence et Alain nous ont retrouvé à Zagora. Du coup, nous irons ensemble à Merzouga.
Les retrouvailles !
Un sigle berbère vu sur un mur en pisé.
Assez surprenant, un mini feu de forêt a eu lieu ici. Les troncs des palmiers ont noirci mais la couronne est toujours intacte.
A votre santé !
Hijo
Un peu de travail, fixation d’un led sur un support.
Et pesage de Mini Caroline ! Poids du jour : 144 grammes, soit 24 grammes de plus que lors de son dernier passage sur la balance au mois d’août 2024.
Du coup, cela donne faim, de la verdure et…
un peu de calcium et de fer.
Mini Caroline était très contente de retrouvée sa mamie !
Nous continuons notre route en direction de Zagora. Il y a deux ans, on était vraiment dans un paysage sec et désertique. Et bien maintenant, il y a plein de verdure, d’arbustes fleuris et de fleurs. Tout cela à cause de pluie diluvienne entre septembre et octobre. Mais cela a aussi eu des conséquences négatives car plus de 60 ouvrages d’art (pont, passage à gué de rivière., etc.) ont été détruit ou endommagés.
L’herbe a poussée !
Il y a deux ans, cette vallée était remplie de palmiers et il n’y avait pas d’eau.
Les chameaux sont contents, il y a à manger !
Un air de savane africaine
Ici il y avait un passage à gué bétonner.
On ne dirait pas que l’on se trouve dans une région désertique.
Les cultivateurs de blé sont contents, cela pousse !
Ici un pont fortement endommagé
Le camping est plein mais nous trouverons une place à côté du puit.
Nous nous sommes arrêté à Tata car il fallait que l’on voit son oasis et son village historique. Chose faite après un bon repas marocain. Le soleil est au rendez-vous mais avec toutefois un vent froid du nord car il a bien neigé sur l’Atlas.
Cette mosquée est juste à côté du camping. Je vous laisse imaginer le bruit. Le muezzin chante pendant une heure chaque soir de 21h00 à 22h00 !
Le matin, Tata est très calme, ramadan oblige.
Envie d’un poulet ?
ou d’un steak ?
Le pickup transporte deux vaches !
Est-ce conforme aux assurances ?
Malgré le ramadan, certains restaurants sont ouvert pour les touristes. Pour nous cela sera tajine de viande hachée.
La visite commence !
Voici l’entrée du village attenant à l’oasis.
Nous sommes au milieu de l’oued. On ne le dirait pas mais au mois de novembre il y a eu jusqu’à 4 mètres d’eau ici !
Certains bâtiments sont encore habités.
L’évacuation de l’eau se fait par un bout de bois taillé.
Et nous voici dans l’oasis, au frais et à l’abri du vent.
Un petit air d’Asie, vous ne trouvez pas ?
Nous revoici au bord de l’oued.
Nous sortons du vieux village et d’autres personnes y rentrent avec leur courses.
Les fleurs sont assez présentes vu l’eau qu’il y a eu.
Vue sur le Tata moderne au fond à gauche.
Une borne incendie… bientôt sous le sable !
En retournant au camping, on croise un transport typique du sud, une charrette tirée par une mule.
L’extérieur n’a pas d’allure, mais les travaux intérieurs présentent bien mieux !
Aujourd’hui, nous faisons la route Icht – Tata dans un paysage très désertique. Malgré tout, l’automne passé a été très pluvieux et on peut voir par endroit que la route a été très endommagée. A Tata, le camping était quasi plein, contrairement à Icht. On voit que l’on s’approche du désert.
On revoit les panneaux routiers typiques du sud marocain.
L’oued est à nouveau sec.
Et un troupeau de chèvres !
Étonnamment, la route proche de Tata présente de chaque côté, une piste cyclable.
Et oui, le vendredi, c’est toujours couscous ! La cuisine du camping nous a préparé un très bon couscous poulet. Vous verrez également quelques photos des alentours.
Joli couscous dans un joli décors !
Ibrahim nous a fait le plaisir de nous jouer de son instrument berbère.
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