Départ avec une heure de retard pour le ferry, 1h30 de traversée et à peine 30 minutes pour sortir du bateau et passer la douane espagnole. Temps gris au départ et temps mi-gris à l’arrivée. Et bonne nouvelle, Mini-Caroline a passé sans problème. Maintenant, après quelques courses demain, il nous reste à penser où nous allons nous diriger pour la suite !
Le temps gris du matin et qui nous accompagnera jusqu’au port.
Le ferry est juste devant mais n’allez pas penser que nous serons dans les premiers. Il y a beaucoup de camions qui passeront avant nous.
C’est tout bon, on peut y aller !
Bye le Maroc
Au loin et au milieu, Gibraltar et à gauche l’Espagne.
Arrivée à Algéciras
Débarquement après une bonne heure et demie de traversée.
Voilà, notre séjour marocain est sur le point de se terminer. Lundi matin, on prend le ferry pour l’Espagne. Ce séjour nous aura enfin permis d’aller voir Merzouga avec ses dunes et surtout ses lacs aux pieds de celle-ci. Une nouvelle fois, nous avons rencontré de charmants locaux et nous avons eu le plaisir de revoir plein d’amis. Sinon, le Maroc ne cesse de se moderniser et il faut fortement s’éloigner très au sud où s’éloigner dans les terres pour y côtoyer du plus typique. Néanmoins, on y reviendra !
Vous ne rêvez pas ! On est au Maroc et nous mangeons une vrai raclette au fromage suisse que nous avions précieusement gardé.
La plage de Briech, à côté d’Assilah, où nous sommes.
Avec ces traditionnels chameaux pour touristes.
Jolie visite que voilà ! Un genre de mésange.
Et elle aime bien se voir dans le miroir !
A part l’extrême Est et le grand sud marocain, nous avons vu pas mal d’endroits au Maroc en trois ans.
Dernière étape avant le ferry, à Assilah, lieu d’arrêt tant pour les camping-car qui rentrent en Europe que pour ceux qui viennent au Maroc. Le temps gris nous accompagne toujours, toutefois avec très peu de pluie, enfin pour l’instant. Nous profitons de ces dernières étapes pour manger tajine et couscous.
Une excellente tajine au poulet cuisiné par le personnel du camping et livrée à domicile !
Départ pour Assilah. Voici une route typiquement marocaine. Cette façon de construire un ‘mur’ au milieu fait que les marocains n’hésitent pas à faire des contre-sens car il y a très peu d’ouverture pour traverser cette route.
Notre bivouac à Assilah Maroc et pas en Afrique
Le vendredi, c’est couscous ! Et celui-ci est juste pour une personne !
Il semblerait que l’on en aura pour quelques jours !
C’est sous un temps gris que nous poursuivons notre remontée. Après avoir traversé Rabat et Kenitra, nous voici à notre étape du jour Moulay Bousselham, qui sera notre avant dernière étape avant le retour en Europe.
Temps gris sur Mohammedia. Nous aurons droit à une petite pluie de sable.
Au Maroc, les cigognes aiment bien faire leur nid sur les mosquées.
Nous sommes proche de la médina de Rabat. On ne s’y arrêtera pas car nous l’avions déjà vu.
Cela beau être la capitale, il faut livrer les oignons !
La tour Mohammed VI, la deuxième plus haute tour d’Afrique. Elle se trouve dans la commune de Salé, limitrophe de Rabat.
C’est aux véhicules de faire attention, pas aux ouvriers !
Mehdia, petite bourgade côtière, a également été envahi par le sable suite à la dernière tempête. Ici on nettoie à la main !
Nous avons beaucoup circuler à travers le Maroc. Et bien en traversant la ville de Kénitra,nous voyons pour la première fois ce genre de feu de signalisation. L’Europe devrait s’y mettre !
Aujourd’hui encore, jusqu’à la pause de midi, la route côtière était fortement dégradée. Juste avant la pause, ma première amende en cinq ans, pour un excès de vitesse de 12 km/h. Le prix a payer : 150 dirhams, soit 15 euros. Ensuite, nous avons pris l’autoroute, bien plus confortable. Surprise, sur chaque pont avant Casablanca, nous voyons des gendarmes et des militaires et les camions étaient tous arrêtés à un péage pou fluidifier le traffic. Après renseignements pris, il s’est avéré que le roi nous suivait au loin pour aller à Casablanca.
La lagune de Oualidia
De plus près
Et on est reparti sur la route bosselée ! Sur le tas de fourrage, il y a une personne !
Beaucoup de fleurs jaunes et derrière des tas de souffre ?
Chopé à 72 km/h au lieu de 60 ! Verdict : 15 euros d’amende et cela a pris 20 bonne minutes pour remplir le pv !
Un pv au format A4.
C’est devenu très vert et très fleuri, toujours plein de fleurs jaunes.
Transport de vaches
de chevaux
Nous sommes dans la grande banlieue de Casablanca et les immeubles sont assez délabrés.
Gendarmes et militaires sur tous les ponts en vue du passage du roi.
Point de bétail mais des oignons !
Cela va devenir rare, terrain de foot en terre et on est encore dans la banlieue Casablanca !
Nous poursuivons notre remontée en allant à Oualidia par la route côtière. Au début et à la fin, la route était en bon état, mais au milieu, on a été pas mal secoué par la route en mauvais état. Néanmoins, la vue était jolie et le soleil était avec nous. Par contre, les températures sont en baisse, aux alentours de 20 degrés.
On reste bien au bord du chemin, merci !
Depuis Essaouira, la verdure est bien présente et les cultures diverses aussi. On verra également des vaches.
Beaucoup de charrettes sont présentes le long de la côte.
Nous passons à côté de lagunes assez souvent.
Nous ferons la pause de midi ici.
A Souiria Kdima. Sur les panneaux, nous ne voyons plus d’inscription en berbère.
Les derniers forts vents ont amené la plage sur la route !
Et on repart sur une route très bosselée mais avec une jolie vue.
Nous avions fait étape à Essaouira avec Violet et David lors de notre premier voyage au Maroc il y a trois ans. Maintenant, force est de constaté que cette ville est encore plus touristique et le typique a tendance à disparaître. Néanmoins, l’ambiance est sympa.
Essaouira au loin
Juste à côté, il y a des dunes et une immense plage. Avec le fort vent, celui-ci pousse le sable en ville !
Oui, il y a du vent mais bien moins que hier.
Une des entrée de la médina
Grand vent, alors tous les pêcheurs sont rentrés au port.
La pêche de cette nuit
Essaouira ou Mogador par le passé, se cache derrière une muraille espagnole.
Certaines ruelles sont très étroites.
Drôle de boutique !
Sympathique enseigne
Vendredi, c’est couscous ! Et celui-ci est à la viande de dromadaire. C’était très bon.
Petite épicerie typique. On en profite pour acheter des cacahuètes salées et des amandes salées.
Un vendeur de pain ambulant
Envie de biscuits ?
Le devant de la médina est très fleuri.
Juste à côté d’Essaouira, à Diabat, se trouve le café où fin des années 60, Jimmy Hendrix venait. Petite pensée pour Violet et David avec lesquels nous n’avions pas pu y venir.
Serait-ce un dromadaire fossilisé ?
On sent que l’on remonte en direction de l’Europe, Mini Caroline veut s’enterrer !
Nous sommes partis de Takate. Après une nuit au camping Atlantica de Tamraght (où nous avons passé deux bon mois), nous avons continué notre route en direction d’Essaouira. Le but était d’aller dans un village côtier proche de cette ville. Le temps en a décidé autrement car le vent était très fort avec des rafales à plus de 80 km/h. Du coup, on s’est arrêté dans les terres à 20 minutes d’Essaouira et le vent est devenu un peu moins fort.
Arrivée à Tamraght sous un ciel gris.
Le camping Atlantica
Surprise, après de forte pluie en mars, des trous se sont formés et provisoirement bouchés à la marocaine 🙂
Jour de grande marée, il n’y a plus de plage.
Bye bye Tamraght, à dans quelques mois, Inch Allah !
Les vagues sont là mais le vent est encore acceptable.
On passe devant le village coloré que nous avions visité il y a quelques semaines de cela.
Bon et bien nous voici derrière un convoi de 15 camping-car italien qui font un tour organisé au Maroc.
Les pêcheurs se sont construits des abris de toile, sans doute suite à la destruction de leurs cahutes illégales.
Nous traversons une région qui cultive les arganiers (dont les fruits pressés donnent l’huile d’argan). Les chèvres en sont très friandes au point de grimper sur les arbres.
Oui oui, il y a bien des chèvres, noires, sur l’arbre.
Par ici, on voit encore beaucoup de personnes se déplacer à dos de mules.
Notre bivouac, nommé Camping Le Calme.
Joli patio
Une belle piscine mais pleine de saleté à cause du vent. Donc, pas de piscine pour nous.
Petit enclos pour la miss qui est quand même assez perturbée par le vent.
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