Retour sur la N2, Montargil, Km 450

2 juillet 2023

Après une nuit très chaude pas loin des menhirs, nous bougeons pour retourner sur la Nationale 2 en direction d’un lac et d’un camping avec piscine. Après la pause de midi au pied du château de Montemor o Novo, nous reprenons la route. Au bout de 15 kilomètres, surprise, alarme au tableau de bord indiquant une baisse de pression sur une roue…. la suite en images.

Un troupeau de vaches n’était pas loin de notre bivouac. Cela nous a fait drôle d’entendre le bruit des cloches ! (Mettez le son à fond et vous les entendrez). Petite pensée pour Christine 🙂
Le spot de la pause de midi à 40 degrés !
Nous somme bien de retour sur la Nationale 2 (ici indiquée R2 dans la région).
Les exploitations agricoles ne sont pas petites par ici.
Suite à l’alarme de pression, on regonfle le pneu.
Juste à côté de nous, on aperçoit une cheminée originale.
Après le gonflage de la roue, on pouvait entendre l’air qui s’échappait. Donc, retour à Montemor où après une bonne heure d’attente, car le mécanicien dînait, la réparation de notre roue débute.
Pendant la réparation, le mécano a envoyé Zaza à la climatisation !
Surprise !
Un boulon de 3 cm que nous pensons avoir attrapé lors de notre redescente du château. Bilan : Deux bonnes heures de perdues et 60 euros. Et on ne sera pas les seuls à avoir cette mésaventure. En partant, une ambulance arrivait avec le même problème !
On repart sur la Nationale 2 avec la promesse du mécano que notre pneu est bon pour la route. On croise les doigts ! En route, nous ne tardons pas à voir une maison de cantonnier à l’abandon.
Une borne kilométrique originale. Il y en a de temps en temps de cette forme mais on ne sait pas pourquoi.
Parfois la Nationale 2 passe par des villages où la route est étroite.
Vraiment étroite, mais Caroline passera sans prendre d’escaliers.
Une maison de cantonnier à l’abandon.
Gentillement, le paysage change. Il y a de plus en plus de pins parasols. On est à peu près à l’altitude de 100 m !
La région ne manque pas d’eau car nous voyons de très grands champs de maïs.
Revoilà les pins et le sable
Et avec bien du retard, voilà le très beau lac artificiel de Montargil, d’une longueur de 12 kilomètres. On se réjouit de s’y baigner !