Voici quelques photos de Vila Réal que nous font découvrir Françoise et PAM son mari.
Le climat portugais semble bien leur réussir !
Notre nouvelle copine Houla !
Pas de doute, on est bien au Portugal 🙂
Une des rues piétonnes au coucher de soleil
Et la marina. La rive au soleil est l’Espagne.
Le lendemain, direction n’ont pas le Doubs, mais la rivière frontière Guadiana qui fait frontière avec l’Espagne.
L’Espagne n’est toujours pas très loin. Ce qui est incroyable, c’est qu’il n’y a qu’une route pour venir au Portugal, celle que l’on a prise. Il y en a d’autres mais beaucoup plus au nord.
Il y’a par contre un traversier mais que pour les piétons.
Grâce à notre amie Françoise qui vit au Portugal, nous apprenons qu’il faut passer la frontière avant le 1er décembre car après cette date, en plus du vaccin, il faudra également un test PCR. Nous quittons donc Matalascanas pour le Portugal à Vila Real de San Antonio pour y voir Françoise et son mari. Hasta luego Espagna !
Dernier couché de soleil en Espagne
Sur les poteaux électriques, on voit des nids de cigognes. Sur celui de droite, il était occupé.
Dernier mètres en Espagne. Un camping-car y entre et un autre y sort !
Direction le parc national de Donana à Matalascanas, parc réputé pour ses lynxs ibériques qui sont en voie de disparition ainsi que l’aigle ibérique et autres oiseaux migrateurs. Pleins de dunes également dans ce parc qui pour certaines peuvent atteindre 30 mètres de haut.
Et encore un rond-point joliment décoré
Notre bivouac, qui semble loin de l’agitation humaine et pourtant le village n’est pas loin.
Au loin, l’atlantique
Plein de parcours qui sont bien aménagés
Chiringuito (restaurant de plage). Dommage, fermé.
Ce dimanche, on visite Séville. on se dit que cela sera plus calme point de vue touristes et donc covid… On commence par le palais de la duchesse d’Alba, personnage haut en couleur d’Espagne, l’Alcazar, palais maure de Séville et on finit par la place d’Espagne. Évidemment, ce n’est qu’un tout petit aperçu de cette ville qui recèle de nombreux vieux bâtiments et autres trésors. Une ville à visiter.
L’entrée du Palacio de Las Duenas, demeure de la duchesse.
De magnifiques patios sont présents dans cette immense demeure.
Il y’a des influences musulmanes dans la décoration murales.
La duchesse du temps où elle n’avait pas encore fait appel au botox… D’après le Livre Guinness des records, Cayetana d’Albe est l’aristocrate ayant porté le plus grand nombre de titres dans le monde sous un gouvernement en vigueur qui les reconnaît légalement : elle était huit fois duchesse, dix-neuf fois marquise, vingt-deux fois comtesse, une fois vicomtesse, une fois comtesse-duchesse et connétable et une fois dame, en plus d’être quatorze fois grande d’Espagne
Une des pièces visibles au public
L’immense escalier menant aux appartements privés de la duchesse.
Plaza de Mayor, un ‘bâtiment’ de l’exposition universelle de 1992
Une des tour de la cathédrale
L’immense cathédrale de Séville. Et non, on ne va pas la visiter.
L’entrée de l’Alcazar, très grand palais maure au milieu de la ville
Les carreaux de Séville sont présent partout dans ce palais.
Voute sculptée, patio avec petit jardin
Pour avoir vu le Taj Mahal, on pourrait presque s’y croire.
Ce palais a également de gigantesques jardins.
Le couloir de sortie du palais…
Ensuite direction de la très grande place d’Espagne, il faut pas moins de 4 photos pour l’avoir en entier.
De magnifiques bancs publics sont présents. Tous décorés avec des carraux décorés d’une région d’Espagne. Ici c’est le soleil des Baléares qui tient chaud aux fesses des touristes…
On bouge direction Séville. On va visiter le dimanche car le samedi, il risque d’y avoir beaucoup de monde.
Des paysages un peu lunaire !
Manolo veille sur nous. Cela signale que c’est une région viticole.
Le taureau veille aussi sur nous !
Et au milieu d’un champs d’oliviers surgit un bâtiment très bizarre…un couvent de bénédictines. Nous avons essayer de voir ce bâtiment de plus prêt mais impossible, tellement les murs d’enceinte étaient haut. Et pas de visite. Tant pis.
Notre escale à côté de Séville dans une aire pour camping-car au port de Gelves.
Aujourd’hui, 7 degrés !!! et brouillard la moitié de la journée. Nous n’avons vraiment pas l’impression d’être en Espagne. On n’avait presque oublié ce que froid veut dire ! On va néanmoins en ville se promener, manger dans un endroit typique et voir un spectacle de Flamenco dans un minuscule bar-théâtre.
On n’avait presque oublié que c’était bientôt Noël !
L’Alcazar de Jerez, que nous ne visiterons pas car ce n’est pas le plus intéressant.
La patrie du Xérès !
La cathédrale de Jerez
Dîner dans un typique estaminet de Jerez. Xérès (très bon) obligatoire et taureau au menu.
Ensuite direction le Tabanco el Pasaje pour du Flamenco (gratuit) et du Xérès 🙂
Petit, mais cela fait du bruit !
Un petit montage de ce que l’on a pu voir sur le Flamenco.
On part pour Jerez de la Frontera. A midi, on s’arrête chez Ikea pour le repas de midi. On a bien mangé mais rien à acheter 🙂 Merci Claire pour le tuyau !
A nouveau, on traverse des paysages différents de ce que l’on a pu voir jusqu’à présent.
Pause de midi chez Ikea. Nous n’avons pas pris le hot dog car trop bon marché, mais…
… le menu du jour, codillo de jamon asado, purée de patate, salade, salade de fruit, pain, boisson et café pour 12 euros.
et j’ai trouvé mon t-shirt de circonstance chez Primark 🙂
Nous poursuivons notre route direction du Portugal en faisant un petit détour par Tarifa pour voir le détroit et une grande dune de sable. Ensuite, nous allons à Vejer de la Frontera où nous passerons la nuit.
Le détroit vu depuis la montagne surplombant Tarifa
Pas très large…
Les plages de Tarifa, réputées pour le kit surf et le surf. Mais à ce moment-là, pas de vent !
Destination la dune !
Oui oui, on peut y aller !
Sur le sommet de la dune
Au fond, Tarifa et non pas Gibraltar
Un petit malin qui a ensablée sa Porche. On ne fera pas la même erreur avec Caroline !
Régulièrement, un trax vient déblayé le sable après la tempête. Heureusement, toujours pas de vent !
Ici on n’hésite pas avec les éoliennes.
Vaches et éoliennes
Vejer de la Frontera, notre destination. Ce village est sur une colline, altitude 200m !
Gibraltar jour 2. On pensait pouvoir prendre le téléphérique pour aller au top of the rock mais pas de chance. En effet, si le vent était calme le matin, on a appris que c’était jour de maintenance ! Dommage. Bon, soyons philosophe, on est allé trois fois à Capetown et nous n’avons pu aller qu’une fois sur la montagne de la table… C’était notre deuxième passage à Gibraltar après 2008 alors… Pas beaucoup de photos car malheureusement la ville en elle-même n’est pas terrible.
Le soir, la marina en face de nous.
Lever de soleil sur le rocher, vers 8h00.
Jour de maintenance c’est sûr. Il y’a deux techniciens sur le toit du téléphérique.
On s’est du coup rabattu sur la pointe de l’Europe, la partie la plus au sud du rocher, face au Maroc.
Derrière moi le détroit de Gibraltar et le Maroc. Ce n’était pas la grande foule point de vue bateau.
Le détroit
Quand ce n’est pas les piétons ou les voitures qui sont sur la piste, ce sont les avions ! Celui-ci est petit mais il y’en a parfois des plus gros.
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