Dernière ligne droite pour aller à Tafraout. Enfin, ligne droite c’est une façon de parler ! En effet, notre route sur les hauts plateaux marocain entre 1500 et 1900 mètres d’altitude, nous a fait faire beaucoup de virages. Une partie de ces routes provinciales a beaucoup souffert des fortes pluies, nous obligeant à rouler très lentement sur certains tronçons. La chose positive est que les amandiers sont en fleurs.
A Taliouine, un petit arrêt avant la route pour acheter du safran, du miel et de l’amlou.
L’oued a encore de l’eau.
Amandier en fleur
Un rucher
Plus de route car emportée par les pluies de septembre et octobre.
C’est le problème des routes qui suivent les oueds. En cas de grosses chutes d’eau…
Et de temps en temps, des villages perdus dans la montagne.
Une culture de cactus. Ils en font de l’huile.
On ne risque pas l’excès de vitesse !
Alain et Florence
L’oued est sec mais les arbres ont en bien profité.
Nous arrivons et le lion de l’Atlas veille toujours sur Tafraout.
A peine arrivé que Ahmed, le livreur de pain et pâtisserie nous fait la surprise ! Nous n’avons pas pu résister.
Nous quittons Ouarzazate pour Taliouine, dernière étape avant Tafraout. La route n’est plus aussi ‘confortable’ que notre précédente étape. Nous traversons les hauts plateaux à 1800 mètres et la température chute par endroit à 10 degrés ! De plus, les nuages sont bien présents et cela fait longtemps que l’on n’en avait pas aperçu autant.
Deux moyens de transport différents à Ouarzazate.
Quelques fois, nous voyons des choses qui nous font sourire. Ici ce sont des italiens avec une poussette pour 4 minuscules chiens…
et ils dorment dans une tente de toit gonflable.
Nous quittons Ouarzazate, la capitale du cinéma au Maroc
Les montagnes enneigées nous accompagnent encore une fois.
Un fabricant de plats en terre cuite et très colorés.
Les villages que nous traversons ont pour la plupart des mosquées très décorées et colorées.
Les femmes ont des habits colorés par ici.
Peut-être des plantations pour le safran, très présent dans la région
De temps en temps, nous voyons de petites oasis au milieu des hauts plateaux désertiques.
Nous venons de là !
Nous passons par une petite ville spécialisée dans la fabrication de tapis berbère. Jolie décoration pour un rond-point (C’est un tapis peint ici).
Habillé comme des ours pour le repas de midi car il faisait froid et il n’y avait de chauffage.
Direction Ouarzazate pour aujourd’hui. La route nationale a été rénovée et c’est sur un billard que l’on roule. Quelques passages de gué sont encore en rénovation mais cela ne nous empêche pas de bien avancer. On voit que l’on se trouve dans une région très touristique. Et pour ceux qui se le demande après avoir vu la précédente vidéo, non nous n’avons pas trouvé de viande de chameau pour le barbecue, dommage.
Vue matinale depuis notre bivouac, avec sur la droite la neige qui nous accompagnera toute la journée.
Dernière piste, ensuite que du bitume pour aller à Ouarzazate.
Attention aux ânes qui traversent la route.
L’eau est encore bien présente dans la région.
Café ambulant
Les rosiers (nous sommes dans la vallée des roses) sont bien vert mais pas encore fleuris.
Nous entrons dans la province de Ouarzazate.
Passage de gué en rénovation
Non, il n’a pas neigé. C’est tout simplement du sel.
Départ pour Ouarzazate. C’est une longue route qui nous attend. Finalement, vu le temps pas terrible dans le nord, Alain et Florence ont décidé de nous accompagner jusqu’à Ouarzazate.
Dernier coucher de soleil sur les dunes de Merzouga.
Nous traversons le désert noir.
Retour de la verdure
La région est très connue pour ces fossiles.
Oui, même ici les feux de forêt sont possibles.
Ici, les femmes berbères sont habillées tout de noir.
Ces tas de pierres sont des accès aux antiques canaux d’irrigation souterrain.
Sans doute une tente de nomade
Une loooooonnnnngue ligne droite, enfin, une de plus !
Des enfants nous indiquent le chemin à prendre car la route principale était fermée.
Alain et Florence nous suivent bien.
Au loin, les montagnes de l’Atlas sont enneigées.
Impossible de rouler à 100km/h, il y avait des moutons sur la route.
Dernier jour à Merzouga. Nous en profitons pour voir un autre lac en vélo. Dans l’après-midi, nous allons un peu marcher dans les dunes. Demain, nous allons nous diriger lentement en direction de Tafraout situé du côté ouest du Maroc, enfin cela si le temps y est propice. Par ailleurs, Alain et Florence nous quitterons pour remonter sur Nador.
En route pour le lac
Au loin, les dunes de Merzouga
Nous voici arrivé au lac.
Terminus !
La ligne blanche au fond est une ‘meute’ de flamands roses. Ce lac sera encore présent pendant un voir deux mois.
Inspection de la part de Hijo de l’enclot de Mini Caroline avant notre départ pour les dunes.
Journée tranquille en face des dunes. On pourrait y rester des heures à les regarder tant c’est beau. Néanmoins, nous irons manger à midi dans un hôtel à une bonne demi-heure de marche en suivant le bord du lac éphemère. Lundi, changement de bivouac, directement à Merzouga.
Les bords du lac étant très boueux et collant et le niveau étant plus que très bas, pas de paddle. Dommage ! Neanmoins, nous sommes chanceux d’avoir pu voir ce lac car c’est assez rare.
Les chèvres se régalent !
Fait-elle du yoga ?
Trop beau
Départ pour le restaurant
Les dromadaires pour les promenades touristiques sont encore au repos.
Notre hôtel-restaurant présente bien.
Voici la piste qu’il faut emprunter pour accéder à l’hôtel. Encore sous l’eau pour quelques jours.
Belle réception
Derrière l’hôtel, accès direct aux dunes.
Juste en face de notre bivouac, deuxième construction depuis la gauche.
Dernière étape pour aller à Merzouga. Les paysages sont toujours aussi magnifique et très coloré, ce grâce aux pluies de l’automne passée. Les derniers kilomètres furent quelques peu chaotique car nous avons du emprunter des pistes. La récompense est à la hauteur ! Notre premier bivouac est au pied d’un lac éphémère et qui est au pied des dunes. Exceptionnel, toujours grâce aux pluies. Sans doute le plus bel endroit du Maroc avec Tafraout, pour nous du moins. A vous de juger en voyant les photos ci-dessous.
Nous quittons notre bivouac de Tazarine.
Heureusement, nous retrouvons rapidement une bonne route.
Voilà bien un nom de village rigolo.
Opération recyclage !
Blé et palmiers
On pensait manger pour la pause de midi dans ce restaurant. Fermé ! Alors cela sera pique-nique.
C’est bien un chameau, pas un rocher !
Le gardien du troupeau est lui sur une moto.
On s’approche du désert !
Un oued bien creusé par les pluies passées.
Belle porte d’entrée !
Tout au fond les dunes de Merzouga
C’est parti pour la piste !
On s’est arrêté car on ne savait pas quelle piste emprunter, on ne serait pas bon pour le Dakar !
Sans doute un futur hôtel de luxe !
Nous ne sommes pas perdus ! C’est tout droit !
Encore deux kilomètres de piste !
Le lac éphemère au pied des dunes !
Nous voici arrivé et parqué.
Elle est belle la vue depuis mon balcon ?
Lac miroir !
Le carrelage du restaurant, original.
Au menu du soir, soupe, tajine de poulet petit pois et tajine aubergine fromage et fruits pour terminer.
Le champagne du jour !
Dernier soleil sur nos véhicules
Oui, nous sommes bien au pied des dunes et du lac.
Aujourd’hui, départ pour Tazarine, avant-dernière étape avant Merzouga. Nous bivouaquerons dans une belle auberge-camping, le Camp Serdrar. La route étant quelque peu chaotique, il nous est obligé de rouer sur de la piste et cela secoue pas mal. Nous n’irons donc pas plus loin. On espère que la route sera meilleur pour la suite.
Zagora est très désert ce matin.
Pas de courses maintenant, on est trop tôt.
Gare au chameau sur la route !
C’est tout bon, Alain et Florence sont là.
Nous voilà sur un plateau, à l’altitude de 980 mètres. Fort vent frais.
Tazarine. Nous nous y arrêtons pour faire quelques courses avant d’aller au camping.
Nous n’achèterons pas ce nouveau modèle de chaîne hifi !
Livraison de poulet
Notre bivouac
et le bivouac à Mini Caroline
Hijo s’inquiète du comfort de Mini Caroline !
Voici quelques vues de cette auberge camping perdue au milieu de nulle part avec tout le comfort nécessaire.
Une fois encore, un air de savane africaine mais ici avec des chameaux.
Quelques chameaux étaient juste à côté du camp.
Pendant que les filles visitaient, Alain et moi on réparait des serrures.
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